Un témoignage qui fait chaud au cœur
Les ennuis de Joelle, 41 ans, sont apparus il y a une quinzaine d’années. Au début, elle avait cette impression désagréable d’être perpétuellement enrhumée. Mais au bout de trois ou quatre ans, les crises se sont aggravées. Éternuements non-stop, démangeaisons, yeux bouffis au réveil qui larmoyaient à la moindre balade…
La jeune femme vivait un véritable cauchemar !
Joelle a consulté un allergologue. Non seulement elle était allergique aux pollens mais elle était dite « multi-allergique » c’est-à-dire allergique à tout un tas de choses.
Joelle a eu recours à la désensibilisation, mais dès qu’une allergie disparaissait, une autre faisait surface.
« Il n’avait plus rien à faire, à part de me gaver d’antihistaminiques avec tout leur cortège d’effets indésirables tels que la tête lourde et la somnolence au volant* ! » disait-elle.
D’ailleurs, Joelle ne se rendait même plus compte de son impuissance. C’était comme si on l’avait jetée dans une piscine sans demander si elle savait nager, pensant qu’elle se débrouillerait seule pour flotter et survivre.
Un jour, alors qu’elle vivait une nouvelle crise d’éternuements, elle s’est posée quelques questions simples…
- Suis-je obligée de subir cette sensation désagréable d’avoir le nez qui coule abondamment, cette fatigue intense, ces maux de tête ?
- Suis-je condamnée à refuser de me balader sans être gênée par des problèmes de respiration ?
- Y a-t-il enfin une lumière au bout du tunnel ?
Après avoir cherché une solution concrète, Joelle a pris conscience que ses problèmes venaient peut-être de son alimentation. Elle a changé radicalement de mode de vie. Elle a laissé tomber le sucre, le lait, les plats industriels ultra-transformés.
Elle a renoncé à l’eau du robinet, au café et à l’alcool, faisant large place à l’eau en bouteille en verre et aux aliments anti-inflammatoires (y compris des fruits et légumes riches en quercétine).
Peu à peu, Joelle a renforcé ses défenses naturelles pour mieux lutter contre les allergies saisonnières, notamment en influençant la composition de sa flore intestinale.
Aujourd’hui, son rhume des foins ne régit plus sa vie, et elle en est ravie. Certes, il lui arrive encore d’en baver de temps en temps, mais elle va beaucoup mieux.
« Je suis heureuse d’avoir atténué de manière importante mes ennuis printaniers. Si j’arrive à m’en débarrasser pour de bon… je serais la plus chanceuse des femmes ! », dit-elle.
En conclusion
Si ces changements ont marché pour Joelle, c’est qu’elle s’est orientée vers les meilleures solutions à sa portée. Elle a été à l’écoute de son corps, de ce qui lui convenait et de ce qu’elle devait modifier.
Il n’est donc jamais trop tard pour changer de mode de vie et en retirer des bénéfices. A méditer !
*Le savez-vous ?
Une crise de rhume des foins équivaut à 0,5 g d’alcool au volant ! Lorsque nous éternuons, nous fermons les yeux pendant environ 2 à 3 secondes, ce qui empêche de voir la route et de réagir sur une distance d’environ 100 mètres à 120 km/h. Fait étonnant, mais un rhume des foins non traité aurait le même effet au volant qu’un taux d’alcoolémie compris de 0,5 g à 0,7 g par litre de sang, soit environ 3 à 4 verres d’alcool fort.